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« Le gouvernement a injecté 450 milliards de francs CFA dans l’initiative ‘Xeuyu Ndaw ni’ pour l’emploi des jeunes en trois ans. »
En trois ans, le gouvernement sénégalais a investi 450 milliards de francs CFA dans le programme « Xeuyu Ndaw ni » visant à favoriser l’emploi des jeunes. Le programme, lancé en avril 2021, avait pour objectif initial de créer 65 000 emplois. Le ministre de la Jeunesse, de l’Emploi et de l’Entrepreneuriat, Pape Malick Ndour, a annoncé que d’immenses résultats ont été obtenus, avec un taux de réalisation de 102 %, soit la création de 66 243 emplois.
Le ministre a également signalé des recrutements spéciaux dans l’éducation, le sport, la santé, l’environnement, et d’autres secteurs, totalisant des milliers d’emplois créés dans le cadre de ce programme. L’initiative a également permis de créer des postes dans le domaine de l’animation socio-éducative, du service civique national, de la gestion des déchets, et de la reforestation.
source: PressAfrik
En ce lundi 19 mai, la mission parlementaire sénégalaise entame une série d’audiences à Dubaï avec de hautes autorités émiraties. Au cœur de cette visite officielle : le renforcement de la coopération bilatérale et l’ouverture de nouvelles perspectives de collaboration.
Les échanges, qualifiés de constructifs par les deux parties, visent à consolider un partenariat stratégique entre le Sénégal et les Émirats Arabes Unis, fondé sur des valeurs communes de progrès, de stabilité et de respect mutuel.
Parmi les priorités évoquées figurent :
– La coopération interparlementaire pour favoriser le partage d’expérience et le renforcement des institutions démocratiques ;
– Le développement de partenariats d’investissement, notamment dans les secteurs clés comme l’éducation, la santé, les infrastructures et les nouvelles technologies ;
– Et la mise en place de passerelles durables entre les deux peuples à travers des initiatives culturelles et économiques.
Mission parlementaire sénégalaise à Dubaï : vers un partenariat stratégique renforcé
Sénégal : la mode « tradi-moderne » séduit les jeunes, les créateurs et les politiques
