Connect with us

Libre Expression

OPINION – « La Logique algébrique au service du développement. J’en profite de l’occasion pour rappeler au gouvernement futur du SENEGAL ma logique mathématique », par Ablaye DIALLO

Avatar photo

Publié

on

desinfor

Aujourd’hui, la domination technologique précède celle économique, politique, etc.
Car on assiste à une époque où la capacité des machines à percevoir, à raisonner, à planifier et à agir sous forme de robot ou sous forme d’une assistance virtuelle. Et là, je fais allusion aux intelligences artificielles.

Mais avant cela, une mise à jour de nos textes sur nos réalités serait une nécessité. Et par rapport au type d’indépendance de notre pays le Sénégal, il urge de planifier et de s’assoir sur la table de discussion rationnelle et objective. La priorité et les urgences du Sénégal et des sénégalais doivent être les seuls objectifs communs.

Et pour cela, croyons d’abord en nos propres ressources humaines, nos talents et nos propres valeurs. La maladie de la majorité de nos politiciens est qu’ils ne croient pas à la force, aux compétences, à la capacité de créativité et d’innovation de nos populations notamment des jeunes et des femmes. Toutes leurs ambitions, s’ils en ont, sont basées sur l’aide extérieure ou bien sur les financements extérieurs qui, parfois sont utilisés sous un angle conduisant inéluctablement à l’assujettissement, à l’inhibition des initiatives nationales et locales, au blocage de l’expansion de l’entrepreneuriat local, à la stérilité des intelligences créatives du pays et des africains. Laissons la chance aux jeunes talentueux, cultivés, patriotique et d’ambition élevée d’exprimer leur talent de leadership et de créativité. L’Afrique berceau de l’humanité, et plus loin berceau des mathématiques qui sont la base des sciences, ne doit pas rester derrière éternellement.
Nos pays, les hommes politiques doivent sortir du schéma stérile de développement imité de l’Occident et entretenu par des intellectuels africains, que l’Occident paye pour nous maintenir subtilement dans l’idée que notre salut est dans la dépendance avec nos anciens colonisateurs, que l’Afrique ne peut pas voler de ses propres ailes, que la coopération entre pays africains est vouée à l’échec.

Essayer de créer les conditions pour récupérer nos intellectuels qui sont en dehors du pays car leur absence impacte négativement pour tout plan émergent.

Aussi, le Sénégal doit former des juristes du numérique qui ont une excellente base en informatique pouvant vérifier toutes sortes d’injustices politiques à base logistique et autres.

Les connaissances scientifiques et l’innovation sont les accélérateurs de l’émergence. Revalorisons la connaissance, les porteurs de connaissances dans tous les espaces publics, sociaux et culturels ! Notre société doit revenir à une société de compétences, une société où la compétence prime sur le discours et l’argent afin d’obtenir une société zéro corruption !
Une gouvernance qui ne repose pas sur l’éthique, sur le respect à la parole donnée, sur la compétence, sur la vertu et sur l’adhésion des populations, ne peut conduire à l’émancipation d’un pays et créer une dynamique pour émanciper un pays.

Prenant en compte tous ses aspects, réfléchir sur la vitesse à laquelle la technologie avance serait une solution pour anticiper les questions du développement durable.

Car les IA doivent servir les sénégalais en particulier et les africains en général. Nous savons tous que les machines ne peuvent pas penser exactement comme les humains mais on tend vers un monde où les algorithmes vont décider à la place des hommes. Et plus tard beaucoup de métiers n’existeront plus et sans doute y aurait des IA qui travailleront pour les gouvernements vu leurs évolutions rapides.

Toute logique mathématique qui est contredite sur le terrain politique aura connu des conséquences néfastes à l’immédiat et pire dans le futur. Un petit exemple pour les non mathématiques, en algèbre tout sous espace vectoriel est un espace vectoriel : vérité mathématique. En politique politicienne, on voit des sous-parties politiques qui ne décrivent pas le parti politique lui-même. Conséquence, l’affaiblissement du parti politique jusqu’à sa dissolution.

Tôt ou tard c’est la logique qui finira par s’imposer.


Centre d’excellence Africain en Mathématiques, Informatique & TIC, 25/01/2024,
Doctorant en Mathématiques Appliquées, UFR SAT, UGB
Laboratoire d’Algèbre, Cryptographie, Code et Applications (LACCA)
Mr. Ablaye DIALLO



Libre Expression

Opinion | La tendance d’aujourd’hui

Avatar photo

Publié

on

desinfor

Le coût de la vie est très élevé. Tout est devenu cher aujourd’hui. Assurer les besoins de sa famille devient un véritable chagrin. Les parents passent leur temps à chercher des solutions pour faire face à cette situation.

Cependant, on constate que dans beaucoup de maisons ou d’appartements, la plupart du temps, il n’y a presque personne pour s’en occuper. Le matin, tout le monde part vaquer à son travail jusqu’à la soirée, où ils rentrent tous. Les enfants, eux, passent leur journée à l’école.

Quelle en serait la cause ?
D’après beaucoup de nos interlocuteurs, cela est lié à l’évolution de la société. Depuis que des systèmes comme la parité ont été instaurés, les femmes ne veulent plus rester à la maison. De plus, beaucoup d’entre elles n’ont pas trouvé de travail décent.

D’autres expliquent que cela provient de la surcharge financière pesant sur les époux, qui ne peuvent plus subvenir aux besoins personnels de leur femme à cause du coût élevé de la vie. En plus des besoins prioritaires de la maison — factures d’eau et d’électricité, scolarité des enfants, et le loyer —, ces charges rendent les finances très serrées.

Certains vont plus loin en affirmant que certains hommes consacrent une partie de leur argent aux besoins de leurs maîtresses, au détriment de l’essentiel pour leur famille.

Advertisement

De leur côté, beaucoup d’hommes expliquent que les attentes des femmes sont devenues trop importantes, incluant à la fois les priorités de la maison et des dépenses personnelles. Cela, selon eux, serait une des causes de la pression financière accrue dans les foyers.

Par ailleurs, certaines femmes déclarent que les hommes ne peuvent plus assumer seuls les responsabilités familiales. Elles estiment que ce que leurs maris leur donnent chaque mois pour les dépenses de la maison est insuffisant. Les prix des produits sur le marché sont très élevés, ce qui les pousse à chercher un travail pour contribuer aux dépenses et compléter les besoins du foyer.

Une tendance qui se généralise
Tous ces propos recueillis montrent que les personnes sont déterminées à assumer les responsabilités familiales face à cette situation de cherté de la vie. Cependant, cette tendance semble s’amplifier dans notre société.

Ne devrions-nous pas réfléchir dès maintenant à des solutions pour notre avenir, en planifiant et en travaillant pour devenir autonomes et être nos propres patrons ?

Fatima Zahra Diallo

Advertisement
Lire la suite